Pierre Marchal: mai 2009

Tout le monde m'en parlé comme du Paris Californien et j'ai réelement hate de découvrir cette merveille.
Me voici donc en route pour San-Francisco, l'océan a perte de vue, les heures défilent et les décors changent, plaines désertes, vignes abondantes, colines verdoyantes.
Mon casque sur les oreilles je m'endors.
Soudainement réveillé par le bruit et l'odeur de la ville.
Nous sommes arrivés.

Le soleil est fébrile c'est donc dans l'orange obscurité que pour le première fois mon regard se pose sur les lumières de Frisco.

Une architecture à couper le soufle, un fabuleux melange de couleurs rythmé par une multitudes de cables.
Toutes les maisons sont diférentes , lorsque l'on plisse les yeux les rues se transforment en palette de peintures panachées de bleu, de rose, de blanc et de doré.

A la nuit tombée elle s'allume comme un sapin de noel il est alors temps de faire la tournée des bars et des galeries.
L'art San-Francuscain est fortement influancé de la rue, les créateurs y sont exentrique et prefèrent le fluo au pastel, les gens boivent juste assez pour ne plus pouvoir marcher et les lendemains sont difficiles.